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Je peux très bien me passer de toi

Depuis que j’ai découvert la plume, l’humour joyeux et teinté d’auto-dérision de Marie Vareille avec Ma vie mon ex et autres calamités, je m’étais promis de lire les autres comédies romantiques dont elle est l’autrice.

Commencé après le décollage de mon vol Paris-Fort Lauderdale, Je peux très bien me passer de toi était pratiquement terminé lorsque le Dreamliner a touché le sol de Floride. Et je ne suis pas du genre « bingereader ». Encore mieux troussée que la précédente, cette nouvelle « romcom » croise les trajectoires de Chloé et Constance, deux héroïnes aux tempérament opposés mais rapprochées par leur détresse amoureuse. L’autrice nous balade entre Paris et les vignobles bordelais, au rythme des réserves de Constance, de l’obsession (pour son ex) de Chloé ou de son rêve d’écrire un roman. L’argument girondin -pour moi qui suis de là bas et y retourne de plus en plus régulièrement- a été un plus. Mais au-delà de l’ambiance si particulière, cette comédie publiée par Lilly Charleston allie tendresse et humour dans les règles de l’art.

Marie Vareille s’est également aventurée avec succès dans un autre genre, la dystopie JA, avec sa saga Elia, passeuse d’âmes, dont les deux premiers tomes sont parus chez Pocket Jeunesse et dont j’ai chroniqué le tome 1.

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