Lorsque paraît un nouveau roman de Candace Bushnell, je me précipite toujours dessus.
De Sex and the city à One fifth avenue en passant par Haut de gamme, je les ai tous adorés. En finir avec Monica est probablement le plus drôle de tous. Même si L’autrice définit la Carrie de Sex and the city comme son alter ego, En finir avec Monica est peut-être encore plus autobiographique, racontant les aventures rocambolesques de Pandy Wallis.
Comme Candace Bushnell, Pandy est une autrice célèbre, créatrice d’une héroïne icônique dont les aventures ont été portées à l’écran. Et dont elle ne parvient plus à se débarrasser pour écrire sur autre chose. Au fil du quiproquo tragi-comique dans lequel elle est embarquée, Pandy revisite sa sa relation avec Sondra Beth, l’actrice qui incarne Monica à l’écran.
Outre son talent à brosser des peintures de mœurs new-yorkaises, Candace Bushnell possède également une rare capacité à glisser sa plume d’un genre à l’autre, tout en conservant l’intégrité de son style. Féroce dans Quatre blondes ou Trading up, qui est peut-être son meilleur roman, l’ancien mannequin n’hésite pas à jouer de l’auto-dérision et à manier le burlesque.
Killing Monica
I never fail to read a new Candace Bushnell novel. I loved them all, from Sex and the city to One fifth street, lipstick jungle or Trading up.
In Killing Monica, Pandy Wallis is an author who created Monica, an iconic character that she can’t get rid off, her publishers always requesting more Monica books. Killing Monica is an hillarious ride, into an unexpected twist in Pandy’s life, that’ll explore not only her relation with Monica, but also with the actress playing the character on screen. Sweet and sour. The author calls Killing Monica a farce, and that’s another « genre » that the talented Candace Bushnell has conquered successfully.